La fin du chemin...Une nouvelle déstinée?

Il se releva sans tarder, plus qu'éttoné par sa miraculeuse guérison, et chercha à savoir qui pouvait bien en être la cause, alors il promena son regard un peu partout
"Il y a quelqu'un?!"

"Oui !"
Elle se montra a Ryudo
"Tu n'a plus mal ?"

Il sembla reconnaitre la reine, mais n'en étant pas sûr et dans l'état d'esprit dans lequel il se trouvait, il brandit son épée par méfiance
"Qui êtes-vous?! Et pourquoi avez-vous fait ça?"

Izuka était à Shade, elle avait été atteinte d'une fièvre et s'était réveillé dans ce lieu maudit pour elle. Elle était là depuis le début et observait les deux protagonistes, avec curiosité. Tapie dans un décombre, elle n'essayait pas vraiment de se cacher mais n'espérait pas non plus être vu.
Ses yeux s'ouvrirent plus qu'à l'ordinaire lorsque la femme, riche surement, guerrit les blessures du jeune homme.

" Utile comme pouvoir, mais qu'est ce que je fais ici, et c'est quoi ce snuages bleus, et ces gens ?"

"Moi, je suis la reine d'Heimdall ! Et toi... tu est surement Ryudo Izayoi si je ne me trompe pas ? Et vous..."

Elle se retourna vers les déconbres.

"Vous devez être... Izuka Fuyu ?"

Izuka, se leva, surprise, la fille l'avait remarqué, elle mis ses bras derrière sa tête et s'approcha nonchalement, elle n'était pas préssé de s'approche, elle échangea un regard avec le garçon et le jaugea, il avait l'air assez fort, puis elle se tourna vers la reine, qui elle, était bien mystérieuse.

"Enchantée...Vous êtes observatrice..."

*pour une reine....*

"Comment connaissez vous nos noms ? Et c'est vrai, pourquoi l'avez vous soigné ?"

Elle observa Izuka les yeux plissé.
"La gentillèsse ne coute rien !"

"Excusez mon insolence, mais dans les rues on apprend guerre la gentillesse, et je ne voulais pas vous froissez. Mais il est vrai que vous êtes observatrice, je n'imaginais pas une reine autrement que dans son chateau, mon point de vue est erroné, veuillez m'excuser... Et excusez aussi, la virulence de mes questions, je n'ai pas l'habitude qu'on nomme ainsi mon nom, ni de rencontrer des étrangers aux pouvoirs donné si gratuitement, le monde est bien dure, sans méfiance on n'y survit que bien mal...."

"Vous êtes pardonné."
Elle souria
"Avez-vous encore une maison, un logement ? Cette guerre a fait des ravages."

Un bruit grinçant se fit entendre, Ryudo venait de planter son épée dans le sol, comme paraissant énervé. Il se tourna d'abord vers Izuka et lui asséna ces paroles acides
"Une espionne...? Seriez-vous en train de me suivre...? Si vous faites partie de cette bande qui m'a déjà attaqué, laissez-moi vous dire que cette fois, je ne vous laisserai pas faire...Surtout si vous êtes seule..."
Puis, continuant sa descente vers la méchanceté, il se tourna maintenant vers Cassandra
"Majesté...alors c'était bien vous...humph...moi qui croyais que vous faisiez partie de la même bande...Mais dites-moi plutôt, qu'est-ce que la reine que vous êtes s'est dérangée à venir ici en personne, et comment connait-elle l'un de ses sujets pourtant pas si important...?"

Izuka soupira et sourit, elle avait un sabre à sa ceinture, un sabre à double lame, épée exotique mais combien utile.
"Je ne suis pas une espionne, comme vous dites vous nes présentez aucun interêt, pour moi en tous cas. Je ne fais parti d'aucune bande, la mienne a été massacrés, il a de celà fort longtemps. Quand à vos menaces... Sachez que je ne suis pas sans défense, loin de là."

La jeune fille s'approcha de la reine, et s'agenouilla devant elle, elle se releva.

"Vous avez bien raison, je suis Izuka Fuyu, mercenaire, de très pauvre lignée. Je ne possède rien, et je ne demande rien, mais je me pose les mêmes questions que ce charmant jeune homme. Je ne sais si je puis vous être d'une quelconque utilité mais contre Ysigawa, je suis prête à me donner corps et âme si celà puis vous être utile. "

Izuka avait bien appuyé ironiquement sur le mot charmant et avait discrétement tiré la langue Ryudo, elle ne voulait pas d'ennemis, elle n'en voulait plus depuis longtemps, mais elle savait que ses seules alliées étaient Mizu(eau), et Akari (lumière), ses deux lames..

Aucun signe de sourire sur le visage de Ryudo, il avait toujours la même mine détérminée, et le regard perçant. Le comportement d'Izuka lui aurait paru très amical il y a quelques temps, mais après ce qu'il venait de vivre, sa vision des choses était complètement altérée, il ne parvenait même plus à distinguer le bien du mal, dans cette horrible guerre. Il détacha son épée du sol pour parer à toute éventualité.

"Enfin des paroles qui en valent la peine..."

Il parlait seulement de l'appui de la demande qu'Izuka avait faite

"J'ai beau chercher...je ne vois pas quel intérêt il peut y avoir à venir me trouver..."

(Si tu veux jouer aux lames, moi je sors Shizuku et Kasumi pour contrer XD)

Cassandra au contraire ne possédait pas d'armes, elle n'en avait pas besoin.

"Depuis la guerre, je recrute les derniers survivant au cas ou Ysigawa reprendrai la bataille. Il faut dire que nous n'étions pas prêt."

Elle s'approcha des ruines et y rammassa un nounours en peluche qu'elle fit disparaitre.

"Je serai ravie de vous accueillire dans mon palais !"

Ryudo poussa un léger soupir, après quoi il poursuivit

"En gros si je vous suis bien...vous me demandez de prendre parti...de me ranger dans l'un des deux camps...?"
Puis un sourire, qui n'avait rien d'amical
"J'espère que vous avez de bons arguments en ce cas....car...qui me dis que je choisirais le bon en vous suivant...Pourquoi ne devrais-je pas rejoindre les rangs d'Ysigawa au contraire...?"

Izuka avait regardé l'ours d'un oeil triste, et avait écouté le discours de Ryudo Izayoi, elle regardait agressivement le sol. Que quelqu'un puisse se poser la question d'être ou non, pour le bien, était pour elle incroyable.

"Tu as vu cet ours en peluche, il appartenait à un enfant, innocent, heimdall essaie de le proteger, mais Ysigawa ne fait pas de différence, ils tuent simplement. Tu dis avoir éé attaqué par une bande, tu dis que tu ne te laissera pas faire, Ysigawa est comme une bande, et Heimdall a ta place, nous ne voulons pas nous laissez faire, et nous voulons que ça cesse.
Moi, je vous rejoint reine Cassandra, mais j'oeuvrais en toute liberté, le préfére voyager à traver le monde plutot que de rester dans un palais. Je n'y serais pas ma place, et ma nature me l'interdit."

"Faite comme bon vous semble, je ne faisait que vous aider ! Quand a vous... Ryudo ! Choisissez ce qui vous semble le mieu pour vous, sa met completement égal !"

Ryudo semblait satisfait, il avait provoqué une erreur chez la reine...

"Vous dites que ça vous est égal n'est-ce pas, alors que vous etiez prêtre il n'ya pas un instant à m'accueillir...? Vous vous contredisez majesté....

Puis à Izuka

"Quant à vous, charmante Izuka...avez-vous des preuves pour justifier vos dires...?"

Il avait lui-aussi insisté longumenet sur le charmante, pour lui rendre la pareille

"Des preuves, il y en assez autour de vous, non ? La reine d'Heimdall recrute, preuve qu'elle souhaite le bien d'Heimdall. J'ai appatenu à une bande, nous avons été sauvagement décimés, je n'au aucune preuve de ce que j'avance. Je le sais, j'ai vecu assez pour avoir mon opinion, et assez aussi pour savoir que certains emons sont plus gentils que certains anges. "

Son discours ne semblait même pas l'affecter, il répondit sans trop se presser
"Des démons plus gentils que des anges, je sais très bien que c'est possible....donc ça ne devrait pas poser de problèmes si j'en devenais un, n'est-ce pas?
Ensuite, vous dites que la reine recrute...Certes, c'est vrai, mais ne croyez-vous pas qu'il en soit de même pour Ysigawa...? Chacun des deux se veut le plus fort possible pour écraser l'autre...dès lors, ne peut-on pas se demander s'il existe un bien ou un mal...?"
Mais vers la fin, sa voix devenait mélancolique et exprimait la tristesse

Izuka ferma les yeux, elle n'avait jamais pensé ainsi, pour elle tout était sois blanc, sois noire.

"Je ne me rengerrais jamais contre des assassins d'enfants. Quand à votre devenir, on nait démon, on ne le devient pas. Nos choix et nos actions dertermine notre voie, pas notre race. Un démon peut être gentil, un ange méchant, mais un humain qui choisit d'être un demon ne peut être gentil, il a choisit l'appellation mauvaise de demon, donc il ets méchant, mais au fond de lui il reste un humain, comme les anges, dechu ou non, il reste des anges, ils choississent leur voie, un ange est defini comme gentil, il ne le choisit qu'à partir du moment où il fais des choix benefique.
Si en tant qu'ange, car tu es bien un ange, n'est ce pas ? Tu choisit le mal, tu deviendra ange dechu, et alors la gentillesse ne pourra être une de tes qualités. Tu sera un ange, certe mais mauvais. Je m'exprime peut être mal, mais c'est ainsi.
Le recrutement... ce que tu dis est vrai, chacun recrute contre l'autre, mais demande à un demon, ce qu'il pense d'Heimdall, il n'ira pas te dire que ce qu'ils font est mal ! Il les trouveront niais et faible, de ne pas tuer les plus faibles, de ne pas s'entretuer et voler. il n'existe peut être pas de bien ou de mal, mais je sais que certaines actions sont répréhenssible, d'autre non. Ysigawa est pour moi, la nation qui se montre la plus cruelle, bien devant Heimdall, j'ai vecu à Heimdall, j'y ais toujours trouvé une quelconque aide. J'ai éré à Ysigawa, j'y suis née, je le sais, je l'ai appris en pillant la maison de l'homme que j'ignorais mon grand père, je suis à moitié un démon, j'ai des instints de demon, j'ai l'odeur d'un demon, et je sais qu'Ysigawa n'aurait jamais hésité à t'achever car tu étais bléssé, et donc en position d'infériorité. Je ne suis pas une sainte, j'ai tué et volé bien des fois, mais il faut bien vivre, je me cache peut être la vérité, je susi peut être un demon, mais je sais que je n'ai jamais rien commis par plaisir."

La jeune fille avait planté son épée dans le sol, en parlant et elle s'était assis, le dos appuyé contre, elle regarda Ryudo droit dans les yeux, il avait souffert, la mort de ses proches jalonnait son chemin, et forgeait son destin, un certain remord, une certaine tristesse se lisait dans son regard, elle lui aurait bien insufflé de l'espoir mais elle se doutait qu'il réagirait surement mal. Izu se tourna alors vers les yeux de la reine, la soumission, la douleur et la révolte s'y mélangeait. Tous ici, avait un lourd passé qui les forceait au choix de leur voie.

*Dans nos yeux, il n'y a plus d'insouciance.*

"Le bien... il n'est que bon si on l'attrape d'une main ferme ! Autrement il ne sert a rien ! Retener bien cela Ryudo."

Elle plissa les yeux avant de se retourner vers Izuka.

"Si vous aver besoin de quoi que se soit, vous pouver aller a mon palais. Le bien sera toujours présent, tant qu'il y aurra quelqu'un pour le soutenir."

Sur ses derniers mots, elle disparu.

Les mots d'Izuka ne l'avaient pas laissé de marbre, il devait l'avouer, et il aurait sans doute été boulversé s'il ne l'était pas déjà tant...Seulement...Ryudo s'était toujours montré sois indifférent, sois enragé pour cacher sa sensibilité, bien qu'il souffre intérieurement, il ne désirais à aucun instant le montrer, alors il fallu bien trouver quelque chose pour ne pas laisser l'avantage à Izuka...

"Tu parles bien Izuka, il est vrai...Mais seulement, tu parles de la face que tu peux voir, la face qui te cache les yeux...Heimdall, ou Ysigawa...Que va-tu t(immaginer qu'il puisse bien penser en tant de guerre...? Crois-tu vraiment que le bien y ait une place quelquonque en vérité? Ysigawa se montre très cruel, certes, mais au moins on peut lire dans leur jeu très facilement...
Quand à Heimdall...Est-ce que tu les crois si innocents que tu veux me le faire croire...? Je sais déjà l'opinion que je me fais de ces deux royaumes, car moi j'ai vu....Et je suis bien placé pour en parler...

Il avait fait exactement la même chose qu'Izuka, à savoir planter son épée au sol une nouvelle fois pour s'y adosser, mais s'était retourné pour lui lancer un regard peu commun...

Izuka sourit, en tapant les pied par terre, une de ses habitudes.

"Il n'existe pas de parti parfait, ça je veux bien te croire ! Je ne connais pas Heimdall, j'y est vécu certes, mais je ne suis pas au pouvoir, je n'en connais pas les motif réels. Heimdall n'est pas innocent, c'est vrai. Malgré mes beaux discours, je ne suis moi même qu'une simple criminelle, je n'ai pas peur de l'avouer, c'est ce que je suis. Mais dans l'adversité et la guerre, il n'y a que deux camp, je ne conais leur vraies intentions, mais je prendrais celui que je jugerai le plus...généreux envers le peuple et la terre, celui qui ne sera pas belliqueux.
Même si je me trompe, même si presque rien n'aura changer, au moins, j'aurais la satisfaction d'avoir choisit mon camp comme je l'ordonnais, j'aurais cette satisfaction de penser que ce que j'ai fait est juste. Et même si c'est une illusion, je veux croire que la face est vraie, même si il y a des miséreux, des meurtres et autant d emalheur qu'ailleur, même si le mensonge y est présent, au moins je n'aurais pas participer aux jeux morbides et cruelles d'Ysigawa.
L'Homme cherche toujours quelque chose de pire que lui, c'est un de ses instinct, et je serais heureuse, c'est égoiste. Mais même si c'est une réactionde faible, je veux me lever le matin, avec l'impression qu'on vit mieux, et ne pas voir les atrocités et le carnage d'Ysigawa. Leurs intentions bien que scincère sont dénué de bonté....
Je n'ai jamais vu d'homme écorché, torturé sur la place ublique, et livré en pature aux goules de l'antre monde, je n'en n'ai jamais vu à Heimdall. A Ysigawa c'ets chose courante. L'humanité, ou toutes autre race a besoin du mensonge pour vivre. Nous ne sommes pas prêt pour la réalité.
Nous cherchons des excuses à nos actes, et la réalité cruelle nous tuerait. Comme Ysigawa le fait, et je veux que celà cesse. Et je suis bien placé pour en parler, je ne veux plus perdre les gens que j'aime..."

Izuka avait perdu son sourire au fur et un mesure qu'elle parlait, elle avait répéter la phrase de Ryudo car elle même n'était plus une enfant. Elle aimerait en savoir plus, elle aimerait savoir pourquoi une telle réserve, une telle insensibilté mais elle ne voulait aps le froisser, car elle même n'aime pas qu'on fouille ses secrets les plus profond. Mais elle ne pu s'empécher de toucher, pour appuyer ses paroles, une plante qui poussait là, fleurs pleine d'espoir et de joie, Izuka aspira ses sentiments de bien être simple... La fleur fana.

"J'ai tué plus faible que moi, tout comme Ysigawa le fait, par simple prétexte qu'elle ne sentira rien et ne fera pas de chagrin. Mais c'est faux, nos vies sont commes la sienne moindre à leurs yeux, et c'est pure crauté."

Ryudo entendit exactement ce qu'il voulait...Et commença à rire sinistrement...Ce n'était pas un rire moqueur, mais comme un rire pour s'en prendre à lui-même, ses nerfs le lachaient le pauvre...
Les gens...que tu aimes...?!
Hahahaha.... Que tu aimes...!
Et peux-tu me dire quelle importance cela fait, une fois que tout les gens que tu aimes ont disparues?! Tu vas sans doute me dire qu'on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve, et que tu te feras peut-être de nouveaux amis...Mais à quoi bon même vivre avec ces images! Si tu crois en être capable, alors demandes-toi qui de nous deux est insensible...
Tu vois...tu perds déjà ton sourire...et c'est triste...Mais pourquoi le perds-tu...?
N'aurais-tu pas pleinement confiance en les actes que tu as vu? Tu t'imagines peut-être qu'ils sont représentatifs de la généralité?
On ne peut pas établir de généralité...et ce que tu as vu pourrait tout aussi bien être faux ailleurs...

Izuka serra le poing sur les lames de son épée, elle serra jusqu'au sang, elle avait envie de le frapper de lui remmettre les idées en place.

"Les gens que j'aime sont morts, morts, ou disparu, la personne qui compte le plus que moi, je ne sais dans quel état, il se trouve ! Tu as raison l'avenir on ne le connait pas, mais je ne pourrais jamais remplacé les personnes qui ont disparu. Tu te crois plus fort, mais les actes que tua svu toi, ne sont aps plus généraux que les miens. Ce que tu a svu toi aussi est peut être faux, ne porte pas de regard sur les gens que tu ne connais pas. Tu n'es pas le seul à avoir souffert, ou a avoir perdu de schoses importante pour toi !"

Inconsciemment, Izuka avait evoqué le passé qu'elle avait entraperçu chez Ryudo, elle se mordit la lèvre en regardant le sang dans sa main.

Ryudo la regardait avec un visage complètement désert, et vide d'émotions. Avant de reprendre, tout aussi calmement...

Exactement...Ils sont morts...Je l'ai vu...rien qu'en voyant l'expression de ton visage....
Les sentiments ne trompent pas...je sais que tu nourrit une grande rancune envers ceux qui ont commit cet acte mais dis-moi sincèrement...Que comptes-tu faire justement, maintenant qu'ils ne sont plus là...?
T'engager dans cette guerre? Ce ne serait pas plutôt un moyen rapide pour les rejoindre dans l'autre monde, en se disant qu'on à tout de même vécu jusqu'au bout sans abandonner? Une sorte de suicide, consciemment engendré par le vide occasioné par leur perte...


Il s'arrêta un long instant...En fait, Ryudo venait de se convaincre lui-même

Eh bien, moi en tout cas, c'est exactement ce que je vais faire...Je vais rejoindre Heimdall !

Après cette phrase non pas sans une dimension magistrale, il tendit une main à Izuka pour l'aider à se relever

N'abimes pas tes mains de la sorte...elle pourront toujours t'être utile au cours de la guere qui s'annonce...

Izuka attrapa sa main, elle était extrémement étonnée de la réacion de ryudo, lui qui était si hostile, acceptait de s'allier à Heimdall. eT il disait savoir son passé.

"Suicide....Me suicider... Tu as peut être raison....Si tu veux te suicider, c'est ton problème, mais tu m'as énervé et à cause de toi, je me suis entaillé les mains ! Pour me venger, je t'empécherais de mourir ! Tu ne te suicideras pas avec la conviction d'avoir vecu jusqu'au bout ! "

Izu avait laché la main et avait arraché ses lames du sol, le sang qui coulait sur les lames, sembla disparaître alors qu'elle parlait en l'ajustant sur son dos.

"Je t'accompagne jusque Heimdall."

Un premier sourire vint s'imprimer sur le visage de Ryudo. Il s'agissait d'un sourire sincère cette fois-ci

Est-ce moi qui t'ai obligée à t'entailler les mains? Tu ne crois pas si bien dire^^

Malheureusement, ce bonheur étant de courte durée, il s'affaça très rapidement pour laiser à nouveau place à la plus froide indifférence

Par contre si tu penses pouvoir être capable de m'en empêcher...Je te souhaite bien du courage...

Il sortit également son sabre du sol et le rangea dans le fourreau situé dans son dos, puis laissa passer Izuka la première

A toi l'honneur...je crois que tu connais mieux le chemin que moi...

(===> Palais d'Heimdall, Hall d'entrée)